⚫ Le PSG fait ses adieux silencieux à Diogo Jota : les stars portugaises portent des brassards noirs et baissent la tête. Mais les aveux tardifs de Vitinha ont fait fondre tout le monde en larmes…

Paris – Lundi après-midi, le soleil n’était plus au rendez-vous. Le cœur du football français s’est effondré lorsque la triste nouvelle est arrivée de Porto : Diogo Jota, le talentueux attaquant de Liverpool et de l’équipe nationale portugaise, est décédé des suites d’un tragique accident de la route.

 

Au centre d’entraînement du Camp des Loges, où le Paris Saint-Germain prépare sa tournée estivale, l’atmosphère est soudain devenue pesante, presque étouffante. Les quatre joueurs portugais évoluant actuellement au PSG – Vitinha, Gonçalo Ramos, Nuno Mendes et João Neves – ont immédiatement demandé à l’entraîneur d’interrompre la séance d’entraînement.

 

Pas un mot. Juste des brassards noirs, des yeux rouges et des têtes baissées, le silence absolu. Mais même dans ce moment solennel, personne ne s’attendait à une telle émotion de la part de Vitinha, qui partage rarement ses émotions en public.

« Je l’ai blâmé… Et maintenant, il n’y a plus personne à blâmer… »
Pendant le silence, alors que le vestiaire était encore empli de soupirs, Vitinha s’est soudainement levé et a demandé à dire quelques mots. Son histoire n’était pas longue, mais elle a suffi à mettre en émoi toute l’équipe – et plus tard toute la communauté du football portugais.

 

« J’étais en colère contre Jota. Je le trouvais trop discret, trop réservé. Une fois en équipe nationale, je le trouvais “distant”. Je lui reprochais – en silence – de ne pas se soucier de nous, les nouveaux joueurs. »

« Mais maintenant, je comprends… Peut-être que ce calme était sa façon de faire preuve de responsabilité. Il n’était pas du genre à tout prendre en compte et à tout dire. C’était lui qui encaissait tout, se taisait et nous laissait briller. »

 

Le silence retomba dans la salle. Gonçalo Ramos resta immobile, les mains sur les genoux. João Neves baissa la tête, des larmes coulant sur ses chaussures. Pour ceux qui portaient le maillot de la Selecção, Diogo Jota était plus qu’un simple attaquant : c’était un leader qui n’avait pas besoin de dire leader.

Des funérailles au cœur de Paris
Le PSG organisa une cérémonie privée en hommage à Jota à son siège. Un cadre photo noir et blanc était placé au milieu de la salle, avec un message simple en dessous : « Adeus, Irmão.» (Au revoir, mon frère.)

 

Les joueurs portugais du PSG portaient tous des brassards noirs pour le match amical à huis clos du lendemain. Pas de fanfare, pas de grandes déclarations – juste des yeux baissés, des cœurs brisés et des souvenirs qui se sont peu à peu transformés en douleur.

« Je ne suis plus en colère contre toi, Jota. Je suis seulement en colère contre moi-même – de ne pas t’avoir compris plus tôt… et parce que maintenant, je n’ai plus l’occasion de te le dire », a écrit Vitinha sur sa page personnelle, quelques heures après la cérémonie commémorative.

Une flamme s’éteint, des milliers de bougies s’allument
Diogo Jota – 28 ans – est décédé au sommet de sa carrière. Mais il a laissé derrière lui bien plus que des buts et des titres. C’est sa façon de vivre – discrète, dévouée, sans fanfare – et la façon dont il a touché le cœur de ceux qui l’entouraient avec humilité.

João Neves, âgé de seulement 20 ans, appelait un jour Jota « le grand frère silencieux », tandis que Gonçalo Ramos publiait simplement une photo de toute l’équipe s’embrassant après une victoire à l’Euro, avec la légende : « Je courrai pour toi. »

Le PSG est plongé dans le deuil, mais de cette obscurité, le respect et la fraternité entre les joueurs portugais illuminent la lumière de la solidarité, une force que Jota a toujours cultivée en silence.

Et bien que Diogo Jota ne soit plus là, dans le cœur de Vitinha, Ramos, Mendes, Neves – et de millions de passionnés de football – il vit toujours, avec une gentillesse et un silence que personne ne peut remplacer.

🕯️ « Je t’en ai voulu… et maintenant, il n’y a plus personne contre qui être en colère. Que des larmes et une gratitude tardive. » – Vitinha

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