Harry Kane refuse le PSG et explique sa décision : une polémique éclate avec Luis Enrique
Le monde du football européen a été secoué par une révélation surprenante en provenance de l’Allemagne. Harry Kane, la star anglaise du Bayern Munich, a confirmé qu’il avait refusé une offre colossale de 100 millions d’euros en provenance du Paris Saint-Germain.
L’attaquant de 31 ans, arrivé en Bavière l’été dernier en provenance de Tottenham, est déjà devenu un élément incontournable du Bayern. Son efficacité devant le but et son rôle de leader dans le vestiaire ont convaincu la direction munichoise qu’il serait la pierre angulaire du projet sportif. Pourtant, le PSG, toujours à la recherche d’un buteur de classe mondiale après le départ de Kylian Mbappé, avait tenté de le convaincre avec un contrat record.
Lors d’une interview, Kane n’a pas mâché ses mots :
« Le PSG voulait m’avoir, mais ils ne méritent pas de m’avoir… » a-t-il lâché, provoquant immédiatement une vague de réactions en France comme en Allemagne. Cette déclaration a été perçue par certains comme un signe d’arrogance, tandis que d’autres y voient simplement la preuve de son attachement au Bayern.
La réponse de Luis Enrique, entraîneur du PSG, ne s’est pas fait attendre. Avec un ton ferme, l’Espagnol a déclaré :
« Il faut savoir rester humble. Le football est un sport où tout peut changer rapidement. »
Ce duel verbal entre le joueur anglais et le coach parisien a déjà alimenté les débats sur les réseaux sociaux. De nombreux supporters parisiens se disent offensés par les propos de Kane, considérant que le PSG est aujourd’hui l’un des plus grands clubs européens. De leur côté, les fans du Bayern applaudissent la loyauté et la franchise de leur attaquant vedette.
Au-delà des mots, ce clash révèle aussi une rivalité grandissante entre le PSG et le Bayern, deux clubs qui se croisent régulièrement en Ligue des champions. Le refus de Kane pourrait bien renforcer encore cette tension sportive et médiatique.
Reste à savoir si le PSG cherchera à répondre sur le terrain, peut-être dès la prochaine confrontation européenne. Une chose est sûre : cette histoire ne fait que commencer.
