L’affaire fait grand bruit en France et secoue profondément le monde du football international. Alors que le Paris Saint-Germain venait tout juste de décrocher une victoire éclatante 4-0 face à l’Inter Miami en huitième de finale de la Coupe du Monde des Clubs, une bombe médiatique a éclaté : la FIFA serait en train de revoir le résultat du match, invoquant une possible infraction liée au nombre de joueurs inscrits sur la feuille de match côté PSG.
Cette information, relayée par plusieurs médias internationaux et confirmée par des sources internes à la FIFA, a immédiatement déclenché une vague de colère parmi les supporters parisiens et les observateurs du football français. Beaucoup y voient une tentative injustifiée de remettre en cause une victoire acquise de manière éclatante sur le terrain, face à une équipe menée par Lionel Messi, ancienne légende du PSG.
Le motif évoqué par la FIFA repose sur un dépassement du quota autorisé de joueurs enregistrés pour le tournoi, une faute administrative qui pourrait, en théorie, entraîner l’annulation pure et simple du résultat du match. Une décision d’une telle ampleur serait sans précédent dans l’histoire moderne du football de clubs, et surtout lourde de conséquences, tant sportives que politiques.
Face à l’ampleur du scandale et à la colère grandissante, Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, a pris la parole publiquement ce matin. Dans une déclaration ferme mais mesurée, il a dénoncé une « manipulation médiatique honteuse » et affirmé que tous les enregistrements de joueurs avaient été validés par les instances compétentes avant le début du tournoi. Il a également ajouté : « Nous n’avons rien à cacher. Tous nos documents sont conformes et disponibles pour inspection. Si la vérité doit être révélée, alors qu’elle le soit entièrement. »
Le soutien envers le PSG a immédiatement afflué sur les réseaux sociaux, où les hashtags #JusticePourPSG et #NonÀLAnnulation sont rapidement devenus viraux. Des figures emblématiques du football français, comme Didier Deschamps et Zinédine Zidane, ont exprimé leur incompréhension et appelé la FIFA à « respecter l’intégrité sportive ».
Pendant ce temps, la FIFA n’a pas encore rendu sa décision finale. Un porte-parole de l’organisation a simplement déclaré que « des vérifications administratives sont en cours » et qu’aucune mesure ne sera prise avant la conclusion complète de l’enquête.
Dans l’attente de ce verdict, le PSG reste concentré sur sa préparation pour les quarts de finale. Mais l’ombre de cette polémique plane désormais sur la compétition, et surtout sur la crédibilité des décisions de la FIFA. Quoi qu’il en soit, l’intervention d’Al-Khelaïfi semble avoir changé la donne, en plaçant la transparence et la rigueur administrative au centre du débat.
