L’affaire secoue l’Europe du football comme rarement auparavant. Ce qui devait être une soirée de gloire en Ligue des Champions s’est transformé en cauchemar pour le FC Barcelone, et désormais, en crise d’autorité pour la FIFA. L’instance internationale vient en effet d’admettre une « grave erreur d’arbitrage » lors du match explosif entre le Barça et l’Inter Milan, où Clément Turpin officiait comme arbitre principal.
💥 Tout commence avec Lamine Yamal, la pépite de 17 ans du Barça, qui s’écroule dans la surface suite à un duel musclé avec Bastoni. Les ralentis montrent un contact net, et pourtant… rien. Pas de penalty. Pas même un appel à la VAR. Pour les supporters, c’est une injustice criante. Mais l’arbitre vidéo reste silencieux. Plus troublant encore : l’analyse post-match d’Iturralde González, ancien arbitre espagnol, disculpe Bastoni… et sème le doute sur l’impartialité de l’analyse.
Et cela ne s’arrête pas là.
🎭 Deux autres épisodes jettent de l’huile sur le feu : Frenkie de Jong, victime d’un contact similaire, subit le même sort — ignoré. Puis, dans une phase défensive tendue, Inigo Martinez détourne le ballon avec le bras. Une main évidente ? Pour beaucoup, oui. Mais pour Turpin ? Toujours rien. Et la VAR ? Étrangement absente.
🧨 La FIFA rompt enfin le silence. Dans un communiqué rare et glaçant, l’organisation reconnaît un dysfonctionnement « technique et humain » dans la communication entre Turpin et le car VAR. Résultat : suspension immédiate de l’arbitre français jusqu’à nouvel ordre. Un geste fort, mais tardif, alors que les rumeurs d’un favoritisme orchestré par des pressions extérieures commencent à éclore dans les médias espagnols et italiens.
Selon une source anonyme citée par La Gazzetta dello Sport, des signaux de contact entre les assistants VAR et une entité externe auraient été interceptés, relançant les spéculations sur une tentative de manipulation du résultat. Bien entendu, aucune preuve formelle n’a été présentée, mais le silence de certains hauts responsables de l’UEFA intrigue. Pourquoi cette inaction ? À qui profite l’erreur ?
🔍 Les réactions ne se font pas attendre. Joan Laporta, président du Barça, demande la réouverture du dossier et réclame réparation : « Ce n’est pas une simple erreur. C’est un vol en plein jour. » Sur les réseaux, les hashtags #JusticePourBarca et #VARGate explosent. Pendant ce temps, l’UEFA tente de calmer les esprits… mais la méfiance est déjà installée.
🙊 Un complot ? Une faille du système ? Ou une vérité encore plus sombre prête à être dévoilée ? Une chose est sûre : l’affaire ne fait que commencer. Et ce qui semblait être une simple soirée de football pourrait bien se transformer en l’un des plus grands scandales de l’histoire de la Ligue des Champions.