Le Paris Saint-Germain n’a jamais cessé de surprendre le monde du football par des coups de théâtre sur le marché des transferts. Mais cette fois-ci, la bombe est d’une ampleur inédite : Alexander Isak, l’attaquant star de Newcastle et véritable joyau de la Premier League, aurait donné son accord au PSG tout en rejetant sans ménagement l’offre de Liverpool. Une décision brutale, mais ce qui sidère l’opinion, c’est surtout le montant astronomique déboursé par le club parisien pour s’offrir l’un des attaquants les plus convoités d’Europe.

Selon plusieurs sources proches du dossier, le PSG aurait proposé une somme totalement délirante, bien au-dessus des standards habituels, au point de provoquer un véritable séisme dans les sphères dirigeantes du football. On parle d’un montant supérieur à 150 millions d’euros, une folie qui dépasse même les attentes les plus optimistes des dirigeants de Newcastle. Ce chiffre n’a pas seulement choqué les supporters : il aurait lui-même laissé Isak sans voix. “Je ne pensais pas qu’un club puisse aller aussi loin pour moi”, aurait confié le joueur à ses proches, selon un journaliste suédois.

Le choix de Paris plutôt que Liverpool ajoute une dimension encore plus dramatique à ce feuilleton. Liverpool, en quête d’un nouvel attaquant de référence pour succéder à Salah et renforcer sa ligne offensive, croyait tenir la corde. Les dirigeants des Reds s’étaient déplacés personnellement pour convaincre Isak, lui promettant un rôle central dans le projet futur d’Anfield. Mais à la dernière minute, le PSG a frappé avec une offre financière hors norme, assortie d’un salaire royal qui place le joueur dans la catégorie des stars les mieux payées du monde.

À Liverpool, la déception est immense. Les tabloïds anglais parlent de “trahison” et certains supporters ont déjà commencé à inonder les réseaux sociaux de messages amers envers l’attaquant suédois. Pour eux, ce choix illustre une nouvelle fois la puissance financière démesurée du PSG, capable de briser les rêves des clubs historiques de Premier League en sortant le chéquier sans retenue.

Mais du côté de Paris, la version est tout autre. Nasser Al-Khelaïfi aurait fait de ce transfert une priorité absolue afin d’ouvrir un nouveau chapitre post-Mbappé. Avec le départ de la star française au Real Madrid, le PSG cherchait un attaquant charismatique, jeune mais déjà redoutable en Europe. Luis Enrique, de son côté, aurait insisté sur le profil d’Isak, convaincu que son style technique, sa vitesse et son efficacité s’intégreraient parfaitement au projet parisien. “C’est l’attaquant moderne que nous attendions”, aurait déclaré l’entraîneur espagnol à ses proches.

Pourtant, l’arrivée d’Isak ne fait pas l’unanimité au sein du vestiaire parisien. Certains cadres se demandent si ce transfert record ne va pas créer de nouvelles tensions salariales, d’autant que le joueur débarque avec un statut de superstar et une fiche de paie qui surpasse celle de plusieurs titulaires historiques. Hakimi, Vitinha et même Donnarumma s’inquiéteraient en coulisses de voir la hiérarchie interne bouleversée par cette signature pharaonique.

À Newcastle, c’est l’incompréhension totale. Le club anglais avait construit tout un projet autour d’Isak, qu’il considérait comme l’icône de son renouveau sous pavillon saoudien. Le voir partir, malgré des offres de prolongation et des garanties sportives, est vécu comme une trahison par une partie des supporters. Certains n’hésitent pas à accuser Isak d’avoir “vendu son âme à l’argent”, tandis que d’autres visent directement les dirigeants, accusés de céder trop facilement à la pression financière venue de Paris.

Ce transfert, s’il se confirme dans les prochains jours, marquera un tournant. Le PSG envoie un message clair : le départ de Mbappé ne sera pas un frein, mais une opportunité pour se réinventer et frapper plus fort encore. Reste à savoir si Alexander Isak, propulsé dans un rôle de sauveur malgré lui, saura supporter le poids colossal d’une telle attente. Une chose est certaine : l’Europe entière retient son souffle, et ce feuilleton ne fait que commencer.