La finale de la Ligue des Champions 2025 entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Milan n’a pas seulement été marquée par le score sans appel (5-0), mais aussi par une performance individuelle qui a laissé une forte impression sur les joueurs adverses eux-mêmes. Le milieu de terrain international italien Nicolò Barella, l’un des cadres de l’Inter Milan, a surpris tout le monde après le match avec une déclaration honnête et admirative.
« Depuis que je suis à l’Inter Milan, je n’avais jamais affronté un joueur aussi bon que lui. Il nous a posé un problème constant. Même si nous avons joué du mieux que nous pouvions, il ne nous a donné aucune chance de gagner », a confié Barella aux médias dans la zone mixte après le match.
Fait notable : le joueur du PSG dont parle Barella n’est ni Ousmane Dembélé ni Désiré Doué, les deux stars les plus visibles du match. L’éloge visait un joueur moins médiatisé mais crucial dans le dispositif tactique de Luis Enrique : Warren Zaïre-Emery.
Une performance complète
Le jeune milieu de terrain du PSG, âgé de seulement 19 ans, a réalisé une prestation de très haut niveau face à l’Inter Milan. À la récupération, à la relance, dans le pressing, et même dans les transitions offensives, Zaïre-Emery a littéralement étouffé les milieux milanais, dont Barella lui-même.
Avec une précision de passe supérieure à 94 %, 12 ballons récupérés, et une influence tactique impressionnante, il a été le métronome du jeu parisien. Ce genre de performance dans une finale de Ligue des Champions à son âge ne fait que confirmer le statut grandissant de ce joueur dans le football européen.
Une reconnaissance forte d’un rival
Le respect exprimé par Barella prouve à quel point la performance de Zaïre-Emery a été marquante. Recevoir ce genre de compliment d’un joueur aussi respecté en Serie A et sur la scène internationale est un gage de reconnaissance rare, surtout après une défaite aussi lourde.
Le PSG peut se féliciter de compter un tel talent dans ses rangs. Et si certains doutaient encore du potentiel de Zaïre-Emery, les mots de Barella parlent d’eux-mêmes.
